Il nous faut être très prudents si nous voulons appliquer cette parabole à notre vie. Jésus ne veut pas donner une leçon de relations économiques ou de travail.
Le salut ne consiste pas à être libérés, grâce à une « expiation » extérieure à nous, d’une culpabilité ancestrale qu’on traînerait depuis le commencement de l’espèce.
Sa foi religieuse n'était pas exempte d'une vision politique, déjà élaborée du temps de sa collaboration à la revue Esprit, de telle sorte qu'on peut parler, à propos de sa pensée, d'une « théologie de l'engagement écologique ».
Croire en la résurrection exige d'être passé de la mort à la vie. Volà pourquoi le rappel de notre baptême à tellement d'importance dans la vigile pascale. Le chrétien est celui qui meurt et ressuscite sans cesse.
La mort de Jésus n'a été ni exigée, ni programmée, ni permise par Dieu. Le Dieu de Jésus n'a pas besoin de sang pour pouvoir nous pardonner.
Dans le récit d’aujourd’hui, tout est symbolique. Les trois frères et soeurs représentent la nouvelle communauté. Jésus est totalement intégré au groupe par son amour envers chacun.
Tout le récit est symbolique. Il y est proposé un processus catéchétique qui conduit l'homme des ténèbres à la lumière, de l'oppression à la liberté; d'une condition de néant à une plénitude d'humanité.
Gonflé par la propagande, un ennemi à abattre peut provoquer des événements dont le sens ne se clarifie que dans les générations suivantes. Dans ce conteste on ne peut ne pas évoquer deux anniversaires mémorables...
Pour retrouver la crédibilité perdue par l'Eglise, il n'existe pas d'autre chemin que revenir à la Tradition de Jésus, ce que fait avec sagesse le pape François.
L’intention de l’auteur –le message qu’il cherche à transmettre- paraît évident si nous prenons en compte le développement de l’évangile dans son ensemble...
Les signes de l’évangile de Jean se présentent toujours à partir d’une narration pour s’élever jusqu’à un message...
Que le pape François n'utilise pas le terme « théologie de la libération » n'a aucune importance. L'important c'est qu'il parle et agisse de façon libératrice.
Mourir ou (hélas) tuer (son propre enfant) pour son Dieu, telles sont les origines du martyre... Cette phrase pourrait servir de sous-titre à ce chapitre 22 du Livre de la Genèse.
Les Mayas ont-ils prédit l'extinction prochaine de notre monde? À un peu plus d'un an de la date fatidique, retour sur une découverte archéologique faite au Mexique, de très savants calculs et une habile récupération commerciale.